Le mochi, un dessert japonais dangereux mais si bon !

A la lecture de ce titre, vous avez peut-être paniqué. « Le mochi, dangereux ? » Mais qu’est ce que ça veut dire. Tout d’abord détendez-vous, ce n’est ni dangereux pour la santé du point de vue maladie ni une arme de destruction massive.
Par contre la composition même du mochi : une boule de riz gluante et visqueuse est la source de nombreux étouffements qui ont parfois été fatals pour les trop gourmands. (Quand on vous dit que la gourmandise est un des 7 péchés capitaux…)

Le mochi, ce dessert adulé des japonais

Les mochis peuvent être parfumés et revêtir différentes saveurs. Ainsi nous retrouverons souvent dans les restaurants japonais, des mochis au thé vert, à la mangue, aux myrtilles ou encore au chocolat. Mais dans ce dernier cas il s’agira d’une adaptation purement occidentale. En effet jusqu’à très récemment, le chocolat n’avait pas sa place dans les dessert du Soleil Levant.
Pour renouer avec de véritables saveurs japonaises, il vous faudra choisir un Daifuku Mochi, autrement dit un mochi garni de pâte de haricot rouge (anko).
Si vous regardez des mangas, vous n’avez pas pu passer à côté de ça.
On voit très souvent les jeunes en manger !

mochi

La pâte de haricot rouge, l’ingrédient préféré des japonais pour le dessert

Il existe bien d’autres desserts à base de pâte de haricots rouge, comme les taiyaki, pâtisseries en forme de poisson (^^). Ou encore les dango, qui sont une variante des mochi : des petites boulettes de pâtes de riz gluant rassemblés en brochettes de trois.
Cependant il y a une pâtisserie dont raffolent les grands et les petits japonais : les dorayaki.

Ces gâteaux sont tellement emblématiques de la culture japonaise, que dans les années 70, un manga a vu le jour. L’animé raconte l’histoire du héros, un chat-robot bleu nommé Doraemon qui ne se nourrit que de dorayaki !